Le pâturage un système alimentaire compétitif soumis aux fluctuations

 

Le pâturage un système alimentaire compétitif soumis aux fluctuations (1ere partie)

Dans le système d’affouragement que représente la pâture, la valorisation optimale du fourrage vert figure au premier plan. Cependant, par rapport à l’affouragement à l’auge, dans la plupart des cas, la qualité et l’offre d’herbe à pâturer sont moins bien connues. Malgré cette incertitude nutritionnelle, le pâturage représente un atout économique en proposant le fourrage le moins onéreux (0,06 €/kg de matière sèche (MS)) tout en permettant d’accroître l’autonomie protéique des exploitations par rapport aux systèmes fondés sur l’ensilage de maïs. Lire la suite

 

Le pâturage un système alimentaire compétitif soumis aux fluctuations  (seconde partie)

Gérer la sortie des animaux et piloter le pâturage : la sortie des animaux au printemps doit se faire avant que l’herbe n’atteigne 20 cm (correspondant au stade montaison) en raison de la vitesse de croissance rapide des plantes. À ce stade, un pâturage composé d’une dominante de graminées contient environ 20 % de protéines et 1 UFL/kg de MS, ce qui est presque équivalent à l’énergie de l’ensilage de maïs. L’herbe représente donc un aliment d’une qualité exceptionnelle pour la production laitière. Lire la suite